Le Blog de Jean Lavaupot

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mardi 3 mars 2015

megAgence rachète Trouvé immobilier en Février 2015

Un réussite insolente

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jeudi 22 août 2013

Entrepreneurs, je vous aime

Votre entreprise individuelle, vivez là comme un privilège !

Par Jean Lavaupot, président megAgence réseau national de consultants immobiliers - président du syndicat des réseaux de mandataires en immobilier - SYREMI.

Entreprendre, c'est accepter les contraintes que l'on a choisies, c’est aussi assumer les risques que l’on a pris. Il faut vivre cette situation comme un privilège car la plupart des gens subissent les obligations que la vie leur impose.


Les candidats au poste de négociateur immobilier en indépendant (mandataire) sont en tous points respectables, eu égard au risque qu’ils prennent en sacrifiant une certaine sécurité financière au profit de l’espoir du gain. Ils rejettent « la soumission au patron » qui leur apporterait la sécurité d’un salaire régulier au profit d’une liberté d’action. Qui pourrait leur en faire le reproche ?

Certainement pas moi qui suis un admirateur des « hussards » de l’entreprise : Ils créent au moins un emploi, le leur. Ils fabriquent des taxes au profit de la collectivité. Ils génèrent des cotisations sociales. Ils prennent des risques financiers. S’ils échouent, ils perdent leur propre argent.

Pour toutes ces raisons, ils méritent d’être traité comme des bienfaiteurs. Pas moins. Le plus humble entrepreneur individuel apporte plus à la collectivité que le plus talentueux des salariés.

Malgré leurs contributions à la collectivité, les entrepreneurs-bienfaiteurs restent perçus, comme des travailleurs précaires dans un monde où la norme est le salariat. Ces risque-tout au régime (suspect) du RSI - Régime Social des Indépendants - ne pourront accéder au prêt avant le 3ème bilan positif (et encore).

On peut déjà pressentir que le rejet de la servilité du modèle post industriel consistant à se soumettre à une hiérarchie en échange de la sécurité d’un revenu régulier, conjugué à l’allongement de la durée du travail, annonce le retournement du régime protecteur du salariat : Faut il se réjouir de l’évolution « protection - soumission » au profit de « prise de risque – précarité »? Je n’en sais rien mais la tendance est en marche car le régime salarial hérité de la révolution industrielle du 20ème siècle finit par s’autodétruire dû à la surprotection rigide dont il s’est vu affublé.

Il faudra une génération pour convaincre que « la précarité » liée au statut d’entrepreneur, soit synonyme de responsabilité. Une prise de conscience collective devra recentrer le rôle du « risqueur » au cÅ“ur du dispositif social. Il le mérite.

Si l’establishment ne prend pas en compte cette évolution, la société Française perdra (encore) de sa capacité à se maintenir dans un marché mondialisé, lequel fait la révérence aux entrepreneurs. Il ne restera alors à la France que le droit de s’émouvoir des départs à l’étranger de ce potentiel entrepreneurial.

Il faut reconnaître que le créateur d’entreprise doit être doté d’une sacrée dose d’énergie (et d’inconscience) car le confort social du CDI dans lequel on est installé avant de se lancer, entrave souvent la décision du futur entrepreneur à se lancer. Le décalage entre les avantages sociaux ultra protecteurs du premier étant très éloignés des risques prit par les travailleurs indépendants.

Ayant personnellement commencé ma carrière il y a 30 ans au régime du RSI, je conserve un souvenir piquant du pillage par les caisses maladie, retraite et vieillesse, des premiers mois de mon installation, avant même d’avoir encaissé le premier franc. Le refus par mon cher banquier, d’un prêt personnel de 10 000 francs de l’époque (1 500 €) pour m’acquitter de ces cotisations sociales me fit avaler ma première arrête sociale. Etant chargé de famille et sans autres ressources avant de me lancer, je compris rapidement le sens de l’expression « toucher le fond » dans ma 1ère année d’exercice.

Enfin les pouvoirs publics, victimes de 50 années de dictat syndical, ont reconnu l’utilité sociale de l’entreprise individuelle en votant la loi du ministre Novelli, que je salue ici sur le statut de l’auto entrepreneur. Ce dispositif a permit à un million de personnes de créer leur entreprise en quelques années. Quand même !

Pourtant, ce régime d’amorçage à la création d’entreprise est actuellement remis en cause par le gouvernement en place, ce qui paraît incompréhensible dans une période de détérioration de l’emploi salarié.

Dans ce contexte, il reste à craindre que le marché de l’emploi poursuive sa régression, ce qui freinera (peut être) les ardeurs idéologiques des politiques à légiférer dans le sens contraire à celui de l’entrepreneuriat individuel.

En tous cas, c’est le vœu que je formule aujourd’hui en rendant hommage aux entrepreneurs de tous poils.

JL

dimanche 18 août 2013

Réseaux de mandataires : le discernement du législateur

La situation n'est pas apaisée entre les organisations professionnelles et les réseaux de mandataires ; lesquels sont représentés par leur syndicat, le SYREMI, que j'ai l'honneur de présider.

D'abord les échanges lorsque des occasions rapprochent les deux parties, comme lors du récent colloque à l'initiative d'Universimmo et de l'Institut du Management des Services Immobiliers (IMSI) : La confraternité serait pourtant nécessaire au moment où les pouvoirs publics sont en train de légiférer sur l’avenir des professions immobilières.

Lors de ce débat, qui portait sur la pertinence des mesures du projet de loi ALUR en matière de vente et de location, le débat est retombé à son niveau le plus bas : « Les agents mandataires ne sont pas des agents immobiliers ! » Las ! Personne ne conteste cette assertion, et surement pas les membres du SYREMI.

Et de poursuivre : « Les agents mandataires des réseaux seraient des intermittents de la transaction, sans âme ni formation, quand les négociateurs salariés seraient des spécialistes hautement qualifiés et professionnels ». Tout cela sans parler des disputes sémantiques d’une grande hauteur de vue sur les « vrais professionnels » qui exercent en agence et refusent l'épithète de "traditionnels" ou "vitrés".

Premier rappel : Le négociateur, qu’il soit salarié ou bien agent commercial mandataire d’une agence en boutique ou d’un réseau, est un négociateur. Point. Il ne revendique aucunement la qualité « d’agent immobilier ». Il est l’acteur qui fait face au client (vendeur ou acquéreur d’un bien), lequel ne rêve que d’une chose : vendre ou acheter dans les meilleures conditions.

Je rappelle également aux pourfendeurs du « grand professionnalisme » que j’ai personnellement démarré dans cette profession en Février 1984 (presque 30 ans), au statut d’agent commercial mandataire. Statut considéré à cette époque comme honorable puisque plus risqué que celui de salarié.

Alors loin de toute polémique, j’en appelle aux responsables des organisations de saisir l’occasion à propos du projet de loi ALUR, pour traiter des vrais enjeux ; et les sujets ne manquent pas. J’ai eu l’occasion de m’en ouvrir récemment au cabinet de la ministre Duflot à propos du projet de loi, en évoquant entre autre :

- Le calcul des droits d’enregistrement sur le prix net vendeur (même avec des honoraires en charge vendeur) ; ce qui aurait pour effet de cesser le « bricolage » de dernière minute (mandat de recherche par l’acquéreur). - Le partage du fichier des mandats de manière systématique avec un arbitrage fort et indépendant (obligation de partager sous peine de sanction). Je rappelle que les américains l’ont réussit il y a 40 ans … - Le délai de validité du mandat exclusif porté à un an avec révocation à tout moment par le client. - La réhabilitation juridique de la preuve de visite (bon de visite par exemple) à condition de faire la dénonciation du client auprès du vendeur. L’immobilier d’entreprise parisien (encadré par la FNAIM) fonctionne parfaitement sur ce modèle avec des « co - exclusivités » voire des « tri – ex. » entre confrères. - La création (appropriation) d’un site internet pour l’intégralité des professionnels et géré par eux à des conditions décentes pour stopper le pillage par des sociétés externes. - La certification unique des négociateurs avec une identification centralisée par internet accessible au grand public. Etc. Voilà quelques chantiers qui susciteraient l’écoute attentive des pouvoirs publics eu égard à l’augmentation des recettes de TVA générées par l’intermédiation.

Au lieu de ça et au-delà des mots, les réseaux de mandataires font l’objet d’attaques par voie juridique. En effet, il se multiplie à l'endroit des agents commerciaux, de manière ciblée, des sommations interpellatives par voie d'huissier dans le seul but de les déstabiliser envers l’enseigne pour laquelle ils travaillent. Les initiateurs de ces actes étant issus des rangs de la profession « traditionnelle ».

Il n'est que temps pour toutes les composantes de la profession de comprendre que le péril n'est pas en son sein, mais à ses portes : le projet de loi de Madame Duflot, s'il comporte des mesures salutaires, telle la création d'un Conseil National de la Transaction et de la Gestion Immobilières, témoigne aussi que ceux qui exercent ces activités ne sont pas investis de la confiance. Plusieurs dispositions de ce projet démontrent de la suspicion envers les agents immobiliers et les administrateurs de biens. Il convient d'en comprendre l'origine, et de ne pas se tromper de combat.

Dans ce contexte, les réseaux de mandataires mènent la même croisade pour la valeur ajoutée et la reconnaissance du service. Ils souhaitent la réhabilitation de l'intermédiation. Ils appellent de leurs vœux un autre regard des décideurs publics, et ils entendent le mériter, par la compétence et par l'intégrité avérée. Enfin, ils incarnent les mêmes valeurs d'exigence car ils opèrent selon un modèle économique à peine différent, qui fait une plus large place à l'entreprenariat individuel.

Sans compter que le modèle économique du réseau de mandataires offre des perspectives d’emplois à des milliers de personnes de tous âges et de tous cursus. Il restaure l’entreprenariat individuel, il réhabilite le service de proximité par le travail en « home office » et la confiance qui va avec. Ce qui rend les négociateurs très attentifs au marché et aux attentes des consommateurs (leurs voisins).

Quelle suffisance et quel mépris pour nier l’allongement de la durée de la vie qui oblige les gens à des carrières multiples ou à ressort, particulièrement à l'heure des destructions d'emplois massives dans tout le pays ? Avons-nous jamais dit pour autant que le monde se coupait en deux, et que la modernité était notre apanage quand les autres seraient archaïques ? La plupart des dirigeants de réseaux de mandataires sont issus de la profession dans ce qu'elle a de plus orthodoxe, c'est mon cas je le répète.

Dans le paysage immobilier du 21ème siècle, les réseaux de mandataires y tiennent leur rang. Leur ambition est d'occuper une position forte, mais non exclusive. Ils rejoignent l’objectif commun de contribuer à faire reculer les ventes dites de p.à p.

D'ailleurs, où mènent les combats qui visent à éliminer les opérateurs d'un autre type, notamment les entrants ? Le législateur a reconnu leur faculté d’intermédiaire en transactions immobilières aux notaires, aux avocats, aux huissiers, aux géomètres - experts, aux architectes. Les réseaux de mandataires y ajoutent l'innovation : L’internet n’étant que la porte d’entrée de ce modèle économique.

Le déploiement par la formation et l’assistance permanente que nous sommes contraint de dispenser pour amener les collaborateurs à s’élever, est au même niveau que partout où le mot formation signifie quelque chose.

Qu’on ne me fasse surtout pas la morale sur le taux de rotation des négociateurs entrants – sortants dans les réseaux de mandataires. Je connais les chiffres de la profession dans son ensemble et je les tairai par décence.

Quels sont les 2 principaux reproches qui sont fait aux agences en réseau de mandataires ? 1/ La distance séparant l’acteur local (le mandataire) de sa base, titulaire de la carte professionnelle et qui sous entendrait l’absence de contrôle par cette dernière. 2/ Le fait de payer pour travailler.



Les auteurs de ces ritournelles sont de pure mauvaise foi et sont aujourd’hui les mêmes qui subissaient à l’époque de leur entrée sur le marché, les attaques de ceux qui se revendiquaient du « vrai professionnalisme ». Les époques changent et les avant-gardistes d’hier s’arc-boutent aujourd’hui à leur passé, diabolisant le changement pour défendre le consommateur (qui ne lui a rien demandé).

Les risques pour les clients ne sont pas plus importants que dans une boutique. Le taux de sinistre est de 0% prouvé. Le taux de satisfaction client d’un mandataire est de 98% prouvé également (sondage BVA de décembre 2012). Quant à « payer pour travailler », je dirais que cela doit satisfaire les 10 ou 12 000 négociateurs mandataires qui s’acquittent tous les mois de cette contribution.

Enfin, et c’est la bonne nouvelle, le législateur a compris notre utilité et notre rôle social et nous reconnait maintenant comme des acteurs à part entière. Notre voix est entendue et écoutée par les ministères en charge du projet.

Je crains par contre que ma communauté professionnelle, à laquelle j’appartiens depuis 30 ans, ne donne d'elle-même aux pouvoirs publics une image bien peu flatteuse, celle d'un corps qui préfère s'entredéchirer plutôt que de se moderniser.

Jean Lavaupot Président du SYREMI – SYndicat des REseaux de Mandataires en Immobilier.

mercredi 15 février 2012

le syndrome du tripalium

D'où vient le rapport ambigu que beaucoup de Français entretiennent avec le travail ?

Sans doute faut-il remonter à l'Antiquité et au tripalium pour comprendre les raisons de ce désamour. Car cet instrument de torture à trois pieux, inventé par les Romains pour punir les esclaves rebelles et qui servait aussi à ferrer de force les chevaux rétifs, a donné naissance en français au mot... travail !

En conférant à nos activités quotidiennes un caractère pénible, de contrainte et d'assujettissement, le latin a d'emblée placé le travail dans la catégorie de ce qui n'est ni désiré ni désirable.

Ce rejet a malheureusement perduré au fil des siècles dans notre beau pays, où les vacances, jours fériés, ponts et autres RTT sont peu à peu devenus infiniment plus plaisants que nos jobs, quelle que soit leur nature.

Nos concitoyens ne sont-ils pas trop nombreux à tolérer des emplois qu'ils n'aiment pas ou des patrons qu'ils ne respectent pas, plutôt que de prendre le risque d'en changer ? Ne sont-ils pas en partie responsables d'aller chaque jour... « comme un lundi » ?

Lorsque j’ai commencé dans l’immobilier en 1984, je me suis rendu compte que je ne faisais plus la différence entre travail et loisir. J’ai compris à ce moment que le travail pouvait être synonyme de plaisir.

Pour ma part, j’emprunterais volontiers la citation de Steve Jobs (Apple) : « Votre temps est limité, ne la gâcher pas en menant une vie qui n’est pas la votre. Ecoutez votre cÅ“ur et votre intuition, le reste est secondaire ».

Sous entendu, changez pour un travail ou une activité qui vous passionne car personne ne fera ce choix à votre place.

Ceci, pour tenter de vaincre « le syndrome du tripalium » ! 


Texte initié par Philippe Bloch et adapté par jean Lavaupot.

vendredi 27 janvier 2012

megAgence, Pour une valeur d'avance.

megAgence, L’agence immobilière de dernière génération.

Entré dans l’immobilier en 1984 comme négociateur mandataire, avant de devenir formateur d’agents immobiliers et manageur d’agence, Jean Lavaupot a dirigé un réseau de 350 agences immobilières durant onze années ; en transposant le concept américain à la culture française grâce à un marketing imaginatif.

En 2011, il lance megAgence, son propre réseau de mandataires immobiliers.

Interview donnée par Jean Lavaupot sur « les nouveaux métiers de l’immobilier ».



La presse : Pourquoi avoir créé une agence en réseau de mandataires ?

Jean Lavaupot (J.L.) : Avec l’avènement de la téléphonie mobile et la recherche immobilière sur Internet qui génère 90% des contacts, le choix du réseau de mandataires s’imposait. D’autant plus que la loi a offert un cadre légal au statut de mandataire ; l’audience internet sur l’immobilier augmentant tous les ans.

La Presse : Quelle est la valeur ajoutée de megAgence ?

J .L. : Les outils uniques créés par megAgence sont issus des techniques de la charte nationale de l’expertise. Le kit de départ le plus complet du marché est envoyé dès le stage initial effectué comprenant une centaine de documents juridiques et outils marketing, comme le plaidoyer de mandat, l’audit du bien ou le rapport d’avis de valeur.

La Presse : Et la sécurité du client dans tout cela ?

J.L. : Il est devenu possible de « dématérialiser » l’agence en boutique en sécurisant la transaction pour le client par la rédaction des compromis de vente chez le notaire.

De plus, megAgence se veut exemplaire en matière juridique en s’imposant une garantie financière de 110 000 €. Les consultants megAgence sont tous mandataires indépendants inscrits au RSAC du lieu de leur domicile. megAgence est membre du SNPI, syndicat Français de 10 000 agences immobilières. La presse : Que faut-il penser des slogans ou qualificatifs que s’attribuent certaines marques, du type : Numéro 1 ; Plus fort que le meilleur ; Premier en tout ; Jamais égalé, inventeur de l’immobilier ?

J.L. : Ces slogans d’autosatisfaction, dénotent une posture narcissique et infondée. Pour megAgence, la qualité de premier ne se décrète pas ! Chez megAgence : Le premier, c’est le client. Le gagnant doit être le client !

C’est la raison pour laquelle, megAgence recrute des personnes qui se reconnaissent dans les 12 principes de notre code d’éthique et de déontologie afin d’accéder au rang de « consultant megAgence ». Le fait de positionner le client au centre du système megAgence exprime notre volonté de satisfaire la clientèle sans nuire pour autant à l’efficacité.

Presse : Les publicités affichent des taux de rémunération avoisinant 100 %, et pourtant, la course au pourcentage a ses limites, non ?

J.L. : Il ne faut pas perdre de vue que 70 % de zéro, font zéro. Les pourcentages les plus élevés étant rarement atteint.

Aussi, je conseille de comparer les outils mis à disposition plutôt que céder à l’appel des sirènes. C’est dire l’importance des documents de travail, de la qualité des formateurs, du rythme des formations ainsi que du soutien permanent du siège.

Presse : Se revendiquer inventeur d’un « concept nouveau » est-il justifié ?

J.L. Le concept de réseau de mandataires, existe aux USA depuis plus de 40 ans et les premiers à l’avoir utiliser en France, ne sont pas ceux qui s’attribuent ce qualificatif.

Au sein du groupe ELIT Immobilier que j’avais créé dès 1992, nous avions déployé un système d’agents commerciaux indépendants travaillant à domicile en les équipant d’un téléphone - fax et du minitel.

Presse : Expliquez-nous pourquoi le modèle megAgence est-il si avantageux ?

J.L. C’est simple, l’agence en boutique sous enseigne (type franchise) fait supporter 4 niveaux de charge au client.

Niveau 1 : une maison-mère composée d’actionnaires. Niveau 2 : une master franchise. Niveau 3 : une agence en boutique composée du patron + secrétaire. Niveau 4 : le négociateur

Dans le modèle megAgence, la chaîne est réduite à 2 niveaux seulement. Ce qui allège les frais pour le client et augmente le revenu du négociateur.

Le siège megAgence mutualise les dépenses et permet de doubler les revenus du négociateur.

Presse : Qu’entend-on par « multi-services » ? :

J.L. : Sous le vocable « immobilier », les fonctions immobilières regroupent de nombreuses activités comme la vente de programme neuf, la cession de fonds de commerce, l’immobilier d’entreprise, la location d’habitation, la location saisonnière, la cession de pas de porte, la commercialisation de programmes neufs, la défiscalisation…

Le négociateur « multicartes » capable de faire plusieurs métiers et d’être performant dans tout reste encore à trouver ( ? ). En effet, chacune de ces spécialités requiert un savoir-faire spécifique, des outils différents et des actions distinctes.

Pour faire un parallèle amusant avec l’automobile, c’est un peu comme si on proposait d’être mécanicien + taxi + fabricant de pneus + laveur de pare-brise + pilote de course, en revendiquant : « C’est de la multi activités automobile » !

Le segment choisi par megAgence est la vente de logements et terrains.

C’est un métier à part entière : détection d’affaires, investigation, audit, plaidoyer de mandat, préconisation de mise en vente, diffusion sur Internet, suivi, visite, étude de financement, négociation, transfert de propriété.

Le choix de megAgence est guidé par la satisfaction client et la rentabilité.

Presse : Proposez-vous une activité de « chasseur immobilier » ?

J.L. : Cette terminologie a fait son apparition il y a quelques années. C’est de la communication pour enjoliver le terme de négociateur. Il s’agit de négociation immobilière, avec partage de fichier avec d’autres agents immobiliers, ni plus ni moins. Donc tout négociateur qui fait (bien) son travail pour le compte d’un client est un « chasseur immobilier ».

En tout cas cette terminologie (à la mode) entre dans le strict cadre de la loi Hoguet (la loi qui régit la profession) et qui date, pour rappel de …… 1970. Rien de plus !

Presse : Qu’est-ce qui est plus respectable : mandataire en boutique ou mandataire depuis le domicile ?

J.L. : Il s’agit là d’un mauvais débat, voici pourquoi. L’un en boutique est commissionné de 35 à 50 % avec une présence journalière dans l’agence sous l’autorité du patron de l’agence. (Ce qui pose souvent des problèmes de requalification de contrat).

L’autre travaille depuis son domicile avec son téléphone mobile et bénéficie d’un commissionnement maximum.

Dans les 2 cas, le statut d’agent commercial est le même, la mission est la même : concilier l’offre et la demande entre 2 particuliers. Cette mission est réglementée par une seule et même loi depuis 1970.

Au lieu d’opposer les 2 manières d’exercer la négociation, je préfère respecter le choix de se sentir à l’aise au sein de la structure de son choix.

Presse : Certaines enseignes diffusent les annonces sur des centaines de sites internet, est-ce également votre cas ?

J.L. : Regardons précisément les chiffres et la réalité des allégations.

La tête de réseau contracte avec des sites dits « portails immobiliers », lesquels transfèrent vers des dizaines d’autres portails immobiliers. Toutes les agences bénéficient de ces passerelles.

En réalité, il n’y a (et on peut le regretter) que quelques sites portails qui monopolisent le web, les autres n’ont qu’une audience anecdotique. Il suffit pour s’en convaincre de taper les mots clés habituels sur Google pour le constater.

Les vrais chiffres de l’audience Internet des portails nationaux donnés par Médiamétrie 2011(en visiteurs uniques mensuels) :

N° 1 : Le Bon Coin : 6 millions N° 2 : Se loger 3,7 millions N° 3 : A vendre A louer 1,7 millions N° 4 : Paru Vendu 1,4 millions N° 5 : Logic immo 1,3 millions N° 5 : Explorimo 1 millions N° 6 : Reflex : moins de un million

Ces chiffres sont extraits du colloque de la Fédération Immobilier et Internet (FF2i) dont megAgence est membre.

Quant aux portails régionaux, ils n’ont d’intérêt que dans la région où se trouve le bien. En effet, quel est l’intérêt de diffuser sur ouest-france.com quand l’appartement est à Montpellier ? Quelle est la valeur ajoutée d’une diffusion sur bourgogne.com pour une maison à Brest ? En résumé, megAgence diffuse sur les meilleurs sites générant ainsi plus de 90 % de l’audience Internet.

Presse : Comment définissez-vous le prix du bouquet de service mensuel ?

J.L. : On répartit les dépenses comme les abonnements aux portails immobiliers par le nombre de mandataires.



megAgence propose ainsi, un bouquet de service unique à 167,22 € ht soit 200 € tic / mois.

Presse : Vous proposez quel type de statut ?

J.L. : Il n’existe que 2 statuts en immobilier (pas 3) : Le salarié (VRP ou non), et l’agent commercial appelé mandataire indépendant. Le portage salarial est extrêmement dangereux : il consiste à faire payer le salaire du négociateur par une société intermédiaire au moment de l’encaissement des honoraires et ce, en recomposant une durée de travail rétroactive ( ? ).

C’est pourquoi megAgence a opté pour le statut d’agent commercial mandataire - j’ai commencé ma carrière par ce statut en février 1984.

Presse : Les honoraires de négociation (que l’on appelle les frais d’agence) sont-ils libres ?

J.L. : Le barème megAgence est de 4 % avec un minimum de 6 000 €, ce qui permet de positionner l’annonce du bien dans les premiers sur internet.

Ecrire « honoraires libres plafonnés à x % » n’est pas en conformité avec le texte de la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence et de la Répression des Fraudes), lequel précise que les honoraires doivent être déterminés et déterminables. megAgence a également décidé de ne pas transiger sur ce point.

Presse : Pourquoi avoir lancé megAgence ?

J.L. : Après 11 années à la Direction Nationale d’un réseau de 350 franchises, j’ai compris que le formidable métier d’agent immobilier était en train de changer.

En 2010, j’ai décidé d’adapter mon savoir-faire de 30 années en m’associant les compétences de bons professionnels et d’une grande loyauté.

Nous avons rédigé le concept megAgence, fait les dépôts des marques, créé le site Internet et le marketing opérationnel avec les designers, en incluant l’expertise dans le concept.

Aujourd’hui, notre détermination à émerger dans le paysage immobilier est intacte et ne se laissera pas ternir par le matraquage concurrentiel.

Voir progresser les consultants megAgence nous apporte une satisfaction à chaque vente - ils nous appellent même le dimanche ou après 22h.

Presse : Comment démarrer avec megAgence ?

J.L. : Dès que la décision est prise, il faut s’inscrire à la prochaine formation (une toutes les 3 semaines) car en affaire, le temps perdu ne se rattrape jamais.

Et comme disait Steve Jobs (Apple) :

« Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la votre. Ecoutez votre cÅ“ur et vos intuitions, tout le reste est secondaire. »

Avec megAgence, vous avez toutes vos chances !

mardi 14 avril 2009

Des bulles de bandes dessinées pour expliquer l'immobilier...

Invité de DecideursTV.com, j'ai répondu le 11 février dernier aux questions de Nicolas Tarnaud.

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vendredi 3 avril 2009

La conjoncture difficile n'est pas un frein !

J'ai livré aux Echos de la Franchise.com ma vision du secteur immobilier à horizon 5 ans, les quelques conseils et astuces pour se lancer et réussir en franchise et les atouts que peut offrir une conjoncture complexe.

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vendredi 19 décembre 2008

Qu'est ce que la mode?

Ce qui se démode!

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lundi 29 septembre 2008

Réflexion sur les banques...

Début des années 90, l’un de mes amis, promoteur et breton, racontait l’histoire à qui voulait l’entendre de son dernier achat foncier afin de réaliser la construction d’un collectif immobilier.

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lundi 28 juillet 2008

Ce n'est pas parce que les prix baissent...

... que l'immobilier est en crise.

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samedi 12 juillet 2008

La crise de l’immobilier : un « non événement »

Jean LAVAUPOT considère le coup d’arrêt actuel du marché comme un « non événement », le ralentissement de la demande correspondant à une fin de cycle.

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samedi 17 mai 2008

Jean Lavaupot reçoit Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet

Le Ministre de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire Jean Louis Borloo accompagné du Secrétaire d’Etat à l’Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet ont signé une convention avec Jean LAVAUPOT et quelque professionnels de l'immobilier pour s'engager sur la diminution de l’empreinte énergétique du Logement.

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jeudi 6 mars 2008

Jean LAVAUPOT s'engage pour la planète

Le logement : un enjeu environnemental

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vendredi 7 décembre 2007

la maison bio climatique

réalisation Gérard Lavaupot Alsace :

Maison LAVAUPOT

Pour cette réalisation, maître d’oeuvre et maître d'ouvrage ont travaillé de concert, sur la base de convictions environnementales partagées. Le “clos-couvert” a été réalisé par l'entreprise, l'essentiel des autres travaux a été réalisé en auto-construction par les propriétaires. Grâce à une bonne intégration dans l'environnement et une utilisation pertinente de la pente, les deux niveaux de la maison donnent de plain pied sur l'extérieur. Cette maison est constituée pour une grande part en bois, façonné par un scieur local. Le bois de l'ossature provient de la forêt domaniale locale. Pour les dalles, le système bois Wenus a été choisi. Enfin, le mélèze de la charpente et du bardage ne nécessite pas de traitement. Les autres matériaux sont renouvelables (chanvre, chaux) ou recyclés (ouate de cellulose). • Les points forts du projet : - utilisation de ressources et savoir-faire locaux - parfaite intégration dans le site, faible impact sur le paysage et bonne orientation - forte proportion de matériaux naturels, renouvelables ou recyclés - chauffage au sol, chaudière à granulés bois et poêle d'appoint - qualités respirantes des matériaux : enduits sable-chaux, béton de chanvre, ouate de cellulose et bois

dimanche 2 décembre 2007

DGCCRF

réaction à l’enquête de la DGCCRF sur les agences immobilières

La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes a publié une étude

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